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Les aventures d'un orifice


Recommended Posts

18 hours ago, Josselin said:

L'histoire de ta vie de sexe est toujours aussi bandante 

Quelle idée d'aller raconter que vous vous êtes embrassé alors que c'est eux qui vous ont défies. Et de t'ignorer ensuite. 

Le pire c'est la famille, je suis désolé pour toi. 

Merci. Bah, faut faire avec (la famille) ou plutôt, j'ai appris à faire sans... Pour ce qui est des amis, cette histoire m'a marqué et depuis, j'ai un peu de mal à faire confiance

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18/ Auto-stop après un plan cul :

 

Je suis affecté en Lorraine, dans une petite ville située à quelques kilomètres de Bar-Le-Duc. Vingt-deux ans, je fais du sport tous les jours. N’étant pas du tout originaire du coin, inutile de vous dire que je m’ennuie grave. Bien que dépénalisée, l’homosexualité n’est toujours pas reconnue, ni admise, dans l’armée. Enfin, je dirais que tant qu’il n’y a pas d’histoires, et que l’on reste discret, ça passe… Mais, officiellement (parole de Ministre) : « Il n’y a pas d’homosexuels dans l’Armée Française ! » Pour les hétéros, le concubinage commence à peine à être accepté. L’ambiance au sein de mon unité n’est pas bonne et le cadre n’arrange rien. Fort heureusement, il existe le minitel.

Un vendredi soir, veille de repos, je me connecte sur un 36 15 et je tombe sur un mec habitant Reims. C’est l’été, il fait chaud. Nous nous mettons à discuter et on commence à se chauffer. Peu avant minuit, Pascal me demande de venir chez lui et me propose de rester la nuit. Il faut dire que de chez moi à Reims, j’en ai pour quelques heures en voiture. En partant maintenant, je peux y être pour trois heures du mat. Banco ! Je suis tellement chaud que je lui dis ok. Il me donne son adresse et je pars après avoir enfilé un bermuda, un t-shirt et mes baskets.

Pascal habite en centre-ville, près de la cathédrale. Je me gare sur la place et trouve facilement son immeuble. Je suis soulagé quand j’aperçois de la lumière par ses fenêtres du rez-de-chaussée. Il est 3 heures 30 du matin. Je sonne à sa porte et j’entends quelqu’un qui approche. J’espère que je n’ai pas fait toute cette route pour rien ! Un homme m’ouvre la porte. La trentaine, un peu plus petit que moi, légèrement trapu, brun. Exactement la description faite. Visiblement, il ne semble pas déçu, lui aussi et il m’invite à entrer.

Après les amabilités d’usage, il me propose un café que j’accepte. Je le suis dans la cuisine. Pendant qu’il nous prépare un bon café, nous reprenons notre discussion où nous l’avions arrêté, mais cette fois, de vive voix. Bisexuel, il est comédien intermittent du spectacle. Il ne me faut pas longtemps pour me sentir bien, très bien même….. Je sens mon sexe de plus en plus à l’étroit dans mon bermuda. Je ne porte rien en dessous. Pascal le remarque et parait apprécier. En buvant son café, il se caresse l'entre-jambe. Lui aussi, il bande. Mon regard quitte ses magnifiques yeux bleus pour se fixer sur sa bosse. Il pose sa tasse et, avec un large sourire, commence à dégrafer la braguette de son jeans. J’admire la scène. Lentement, il ouvre son pantalon qui ne tient plus que grâce à ses bretelles. Il écarte et plonge sa main dans son slip. Une légère toison brune s’en échappe. Je pose ma tasse à mon tour. Enfin, il ressort sa main. Il tient sa bite. Elle est raide, épaisse et veineuse.

Je ne tiens plus et me jette sur lui en m’agenouillant. J’ouvre la bouche en grand et avale sa queue au plus profond. Elle n’est pas très longue. J’aime son goût et son odeur. Il me tient la tête et m’impose quelques va-et-vient. Je ne me fais pas prier. Je sens ses couilles poilues battre contre mon menton. Je suis a genoux devant lui. Pendant qu’il me baise la bouche, je déboutonne mon bermuda et commence à sortir ma bite bandée comme jamais. Puis, Pascal me relève et m’emmène dans sa chambre. Devant son lit, nous nous roulons une pelle. En même temps, nous terminons de nous déshabiller pour finir complètement nus. Nos mains parcourent chaque centimètre de nos corps respectifs et nous nous laissons tomber sur son lit.

Pascal prend les choses en main et me retourne sur le ventre. Ses mains caressent mes fesses, les écarte. Je sens alors son souffle sur ma raie, puis sa langue qui passe sur toute la longueur. Après deux ou trois passages, sa langue s’arrête sur mon anus. Il le titille, l’aspire, le pénètre. Il repart sur mes couilles et recommence. Je m’abandonne entièrement et je m’ouvre….. Je sens alors un, puis deux doigts se présenter à l’entrée. Ils s’enfoncent. Un troisième les rejoints. Après quelques mouvements, je sens la bite de Pascal contre mon trou. Il pousse d’un coup sec et tout rentre à fond. Je crie de surprise avant de gémir de plaisir. Il me lime. Il entre, ressort complètement avant de re-rentrer. Je ne suis plus qu’un trou à la merci de sa grosse bite. Je ne sais pas combien de temps cela dure, mais il finit par se cambrer en se maintenant tout au fond de moi. Alors que je jouis littéralement par le cul, lui m’inonde de son foutre chaud…... Nous restons ainsi quelques instants puis il se retire. Je me retourne alors et après une nouvelle pelle, je descends et je prends son sexe à demi mou dans ma bouche. Il est surpris, mais me laisse faire. Je récupère ainsi les quelques gouttes de sperme restant avant de le lâcher. Je remonte et il m’enlace. Nous nous embrassons encore, en nous caressant tendrement, avant de nous endormir.

Lorsque je me réveille, il fait jour. Pascal me tient toujours dans ses bras. Il dort encore. Doucement, je me libère de son étreinte. Maintenant que j’ai les mains libres, je le caresse tout doucement. J’arrive au niveau de son bas ventre, je touche son sexe à moitié bandé. Aussitôt, je me glisse sous le drap et me retrouve avec sa bite à portée. J’ouvre ma bouche et caresse son gland avec ma langue. Sa bite sursaute. Aussitôt, je le gobe et prends sa bite en bouche. Je commence un va-et-vient. Il durcit. Pascal s’étend sur le dos et une main vient caresser le mien en remontant vers ma nuque. Il ne faut pas longtemps avant que je ne reçoive ses jets de sperme dans la gorge. Je garde tout en bouche et je remonte pour l’embrasser. Nous partageons son jus avant d’avaler.

Pascal me remercie pour cette douce et intense nuit puis, pour ce réveil particulièrement agréable auquel il n’est pas habitué. Malheureusement, il est temps de penser à reprendre la route. Nous prenons un petit déjeuner et, après une très bonne douche prise ensemble..., je reprends la voiture.

 

A suivre…

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Le suspens est terrible ! On attend l'auto stoppeur avec envie ! 

Très excitante histoire ce plan cul. 

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9 hours ago, Josselin said:

Le suspens est terrible ! On attend l'auto stoppeur avec envie ! 

Très excitante histoire ce plan cul. 

Merci 😋

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19/ Auto-stop après un plan cul 2/2 :

 

Sur le trajet, à la sortie de Reims, j’aperçois, au loin, sur le bord de la route, plusieurs personnes faire de l’auto-stop sur une aire de repos. Je repère un jeune homme en short rouge très court et en débardeur. Sans hésiter, je m’arrête à sa hauteur. Fort heureusement, il voyage seul. Son short est vraiment très court et plutôt moulant. Il m’indique vouloir se rendre à Bar-le-Duc. Il est assez pressé, ses parents l’attendent. Je suis un peu claqué et avoir de la compagnie me fera du bien. Je n’imagine pas encore à quel point.

Il pose son sac à l’arrière et s’installe à côté de moi. Je démarre et reprends la route. Nous discutons de tout et de rien, de la chaleur…. Je ne peux m’empêcher de jeter un œil, le plus discret possible, dans sa direction. Il s’appelle Rémy, 19 ans. Il a les cheveux courts et blonds. Visiblement, il est sportif. Un visage d’ange avec de magnifiques yeux bleus. Il est assis bien bas sur le siège, les jambes écartées. Je distingue facilement son paquet qui me paraît fort intéressant. Il faut dire que son short le moule encore plus maintenant qu’il est assis. Je m’imagine passer ma main entre ses cuisses ainsi offertes et à portée.

J’écoute à peine ce qu’il me dit. Je suis dans mes pensées, entre le merveilleux souvenir de cette nuit passée avec Pascal et la vision angélique qui s’offre à moi à présent. Je bande et me sens à l’étroit dans mon bermuda. Je m’ajuste tout en conduisant. Rémy le remarque et apprécie, car, aussitôt, je sens sa main se poser sur ma cuisse. Je reviens à moi en laissant la main de Rémy où elle est. Il veut me remercier pour le transport et se propose de réaliser ce que je souhaite, me dit-il en remontant sa main vers mon paquet. Je lui réponds que cela me semble être un excellent programme. Il caresse ma bite au travers de mon bermuda. Il le déboutonne. Ma queue jaillie immédiatement, toute raide. « Fais attention à la route, je m’occupe du reste ! » me dit-il. Il se penche vers moi et avale ma queue. Je n'en reviens pas. Je me fais tailler une pipe pendant que je conduis !!

Je suis hyper excité, mais je dois continuer à conduire. Je sens sa langue faire le tour de mon gland. Puis il s’enfonce et m’avale autant qu’il le peut vu ma position assise. Je me mets le plus en arrière possible tout en m’avançant sur le siège pour lui dégager le passage. Avec sa main, il sort mes couilles du bermuda et les malaxe. Moi qui n’ai pas envoyé la purée de toute la nuit, je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Je demande à Rémy d’y aller plus doucement afin de faire durer, un peu, le plaisir. Il relâche un peu la pression de ses mâchoires. Il me caresse de ses lèvres et du bout de la langue. Je sens que ça vient. Je ne tiens plus et le lui dis. Il reprend aussitôt ma bite en fond de gorge et je me libère. Je suis cramponné au volant et j’appuie sur mes talons en gérant au mieux l’accélérateur. Je gémis fortement en lâchant de puissants jets de foutre au fond de sa bouche. Il gémit aussi. Il n’en perd pas une goutte et se relève. Rémy me regarde en avalant mon jus avec un sourire malicieux. Je me sens vidé et heureux. Rémy me montre son short. Sans se toucher, il a joui aussi. Son sperme a traversé le short. Il le ramasse avec ses doigts. Alors qu’il dirige sa main vers sa bouche, je l’attrape et la tire vers moi. Je prends ses doigts pleins de sperme dans ma bouche et lui lèche avant d’avaler.

Reprenant nos esprits, nous nous rajustons et poursuivons notre voyage, satisfaits et ravis. Je dépose Rémy chez ses parents avant de rentrer chez moi. Des deux, je n’ai revu que Pascal, à la télévision, dans une publicité pour une boisson non alcoolisée...

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En deux ans d’affectation en Lorraine, je n’aurais eu que deux aventures avec des mecs et tout ça sur vingt quatre heures. Mes parents ne m’ont pas dénoncé à ma hiérarchie. J’ai des nouvelles par ma sœur qui se fout de savoir avec qui je couche, mais je nie toujours.

Je suis muté en région Rhône-Alpes, ainsi que mon tuteur et sa femme, dans une caserne toute neuve. C’en est terminé des pavillons sans chauffage (excepté le poêle à charbon). Nous logeons dans des immeubles de quatre étages maximum. Pour ma part, je bénéficie d’un grand F 3 avec balcon donnant sur l’intérieur de la caserne. En fait, tous les bâtiments d’habitation forment un cercle. Ainsi, nous avons tous une vue sur tous les appartements de la caserne, sauf celui du commandant, qui est à l’écart. Il faut donc bien penser à fermer ses volets si on veut bénéficier d’une certaine intimité.

Rapidement, je dois remonter en Lorraine pour quelques jours...

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Bon choix d'auto stoppeur ! Il avait l'air de connaître son affaire, il n'en était pas à son premier paiement pour la course ! Très excitante situation ! 

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(edited)

20/ Convoqué au Tribunal

 

J’ai à peine 23 ans. Je suis depuis peu affecté dans la région Rhône-Alpes. Je suis convoqué au Tribunal de Bar le Duc (compétent sur mon ancienne affectation) pour une affaire de violence sur dépositaire de l’autorité publique, en qualité de victime donc. L’audience est prévue le matin vers 10 heures. Je décide d’arriver la veille et de prendre une chambre à l’hôtel situé à côté. Le voyage se passe sans encombre. À mon arrivée, je prends possession de ma chambre. Elle se trouve dans un bâtiment annexe, de l’autre côté de la rue. Je précise qu’il pleut sans discontinuer. Je vide mon sac et range mes affaires, mais j’y laisse toutefois les deux godes et le gel que j’ai prévu pour passer la soirée.

À l’heure du dîner, je descends à la salle de restaurant. Je suis placé à une table sur laquelle je vois deux couverts. Le serveur m’indique que le restaurant de l’hôtel étant complet, je vais devoir partager la table avec un V.R.P. de passage. Je m’installe et je commande une bière en attendant. Ma boisson arrive en même temps que l’homme qui va me tenir compagnie.

Il commande immédiatement la même chose que moi. Nous nous présentons et choisissons notre menu. Il fait à peu près ma taille, châtain foncé, la trentaine, marié (hétéro donc). Habillé en pantalon de ville et chemise. Je vois tout de suite que ce n’est pas un sportif assidu, mais il est quand même bien gaulé. Représentant en matériel médical, il fait le tour des hôpitaux de la région. Comme avec tout bon V.R.P., la discussion est facile. Le courant passe bien. Nous nous tutoyons. À la fin du repas, il me propose de continuer notre conversation dans sa chambre située dans le bâtiment principal, pour boire un dernier verre. Je le suis volontiers, mes godes attendront. D’autant que la pluie tombe de plus belle.

Nous arrivons dans sa chambre, il fait chaud. Il me dit de me mettre à l’aise et qu’il va en faire autant. Il se rend dans la salle de bain tout en continuant à discuter, sans fermer la porte. De là où je suis, je ne vois rien. Lorsqu’il revient, il porte un short en coton, style pyjama, et c’est tout. Mon regard est automatiquement attiré sur son entre-jambe. Je peux facilement deviner qu’il ne porte rien en dessous et je me dis que les godes ne me serviront peut-être pas. De mon côté, j’ai retiré mon blouson, mon sweat et mes baskets. Je suis en jeans, t-shirt et chaussettes. Il ouvre le mini-bar et me propose une boisson. Je prends un whisky. Nous nous installons à la petite table, dans les fauteuils de l’hôtel, l’un en face de l’autre. Doucement, mais sûrement, la discussion dévie sur le cul. Puis, sans être pressant, il me pose pas mal de questions, du style :

« Ça ne doit pas être évident de tirer un coup quand on ne vit qu’avec des hommes ? Ça arrive qu’il y ait des histoires entre vous ? Vous faites des partouzes ? »

Je lui réponds du mieux que je peux en lui expliquant que nous vivons entre hommes seulement pendant les déplacements. Le reste du temps, c'est chacun chez soi avec épouse et enfants pour ceux qui en ont. Que nous avons chacun notre appartement. Quant aux partouzes, je n’en ai fait qu’une, à la fin de mon école sous-officier, avec des collègues et quelques femmes offrant des services tarifés.

« Et entre vous ? Pendant la partouze, entre collègues ? »

J’hésite à répondre. Je n’assume déjà pas, alors le raconter à un mec hétéro que je connais à peine….

Il perçoit ma gêne et me dit :

« J’ai toujours été attiré par les mecs. J’aimerais beaucoup….. »

En même temps, il se touche le paquet. Je vois qu’il bande. J’aperçois même une petite tâche humide sur son short au niveau de son gland. Je remonte les yeux vers son visage. Je le regarde droit dans les yeux, lui souris et lui saute littéralement dessus. Je m’approche de sa bouche et lui fourre directement ma langue. La sienne réagit et nous jouons ainsi quelques minutes. En même temps, ma main droite va se coller à son paquet. Je malaxe ses couilles et sa bite. Lui, commence à me caresser le dos, mais je sens qu’il n’ose plus aller plus loin. Alors que nous sommes toujours bouche-à-bouche, je dégrafe mon jeans et le baisse autant que je peux. J’ai bien fait de ne rien mettre en dessous ! Ma queue raide jaillit devant lui, toujours assis. Je me redresse et lui mets sous le nez. Il me regarde puis la prend d’une main et se rapproche. Il passe sa langue sur mon gland, doucement au début, puis plus franchement. Il le gobe. Il s’enhardit et commence à descendre doucement sur mon membre. Ses lèvres m’enserrent la queue. Je sens mon gland battre contre son palais alors que sa langue glisse par le dessous. Pour un hétéro, il semble déjà avoir de la pratique !

Je me retire et lui propose d’aller sur le lit. J’en profite pour finir de me déshabiller. Il retire son short et je découvre enfin une belle tige bien veinée, je dirais dans la moyenne, et plus épaisse que la mienne. Il s’allonge sur le lit et je le rejoins en commençant par lui caresser les pieds. Puis je prends un gros orteil dans ma bouche et simule une fellation. Il gémit de plaisir. Je m’occupe ainsi de chaque orteil, de chaque pied avant de remonter doucement vers ses couilles. Je suis à quatre pattes, le cul tendu et il peut voir le reflet dans le téléviseur accroché au mur en face. Je lèche ses couilles. Elles sont petites et je prends les deux dans ma bouche. Je les fais rouler avec ma langue. Puis je relâche tout en aspirant, ce qui le fait sursauter. Je prends alors sa bite directement à fond. Je salive suffisamment pour que ça passe. En même temps, je sens mon cul s’ouvrir par spasmes. À chaque fois que j’enfonce sa queue dans ma gorge, ma rondelle s’ouvre !

Mon représentant me demande d’arrêter. Il ne veut pas jouir tout de suite. Je me retire et lui dit que maintenant, il m’en fallait un peu plus. Je lui demande s’il veut m’enculer et lui, fou de joie, me répond : « Quelle position tu préfères ? » Je me mets sur le dos, relève les jambes et, lui présentant mon anus, je lui dis : « Si ça te va, tu peux y aller ! Encule-moi ! »

Il se redresse et vient présenter son gland contre mon anus. Je lui demande de cracher dessus et d’y aller franchement. Ce qu’il fait. Son gland entre d’un coup, mais bloque après. Sans gel, ce n'est pas toujours évident (dommage, j’en ai dans ma chambre !). Il se retire, recrache et recommence. De mon côté, j’humidifie ma rondelle de la même manière et avec quelques doigts. Il est prêt et retente de me pénétrer. Cette fois, ça passe. Il s’enfonce doucement et à fond. Je sens son pubis contre moi. Puis, il se met à bouger. De petits va-et-viens au début. Ma rondelle est détendue. Il accélère et met de l’amplitude dans son mouvement. Je sens la chaleur monter. Il me lime ainsi plusieurs minutes puis finit par me donner de gros à-coups en gémissant encore plus fort. Je sens alors son jus chaud m’inonder l’arrière-train. Je prends ma bite pour me branler et je jouis aussitôt. Je lâche la purée sur mon torse. Il s’écroule sur moi et nous restons ainsi quelques instants. Son membre reste en moi et je le sens décroître pour, finalement, s’extraire tout seul. Je sens aussi sa semence couler sur le lit.

L’heure avançant, il est malheureusement temps de retourner dans ma chambre pour dormir un peu afin d’être à peu près en forme demain pour le procès. Nous nous remercions mutuellement de ce bon moment et je prends congé. Une fois dans ma chambre, je me couche tout de suite, satisfait. Le lendemain, en refaisant mon sac avant d’aller au Tribunal, je vois mes godes et le gel dans le fond. Amusé, je me mets à leur parler : « Dommage pour vous, j’ai trouvé mieux hier soir !. »

 

 

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Dans une unité composée de cent dix personnes, des hommes exclusivement, des amitiés se créent. En plus de mon tuteur, j’ai plusieurs potes. Nous vivons en vase clos et il est facile de se couper du monde extérieur. L’inconvénient, c’est que tout fini par se savoir. Les épouses, qui sont peu nombreuses à travailler, passent leur temps ensemble et les discussions vont bon train. Il ne faut pas longtemps pour apprendre qu’untel a couché avec unetelle ou que machine organise des partouzes pendant que l’escadron est en déplacement. Malheureusement, l’homosexualité est toujours une cause de renvoi. Il faut être très prudent. Mais parfois, l’envie est trop forte...

Edited by Dunegay
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La façon dont tu racontes laisse penser que ce n'était pas sa première expérience ! 

Ah les ragots et rumeurs... Ça fait du mal. 

Merci pour cette chaude histoire bien excitante ! 

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8 hours ago, Josselin said:

La façon dont tu racontes laisse penser que ce n'était pas sa première expérience ! 

Ah les ragots et rumeurs... Ça fait du mal. 

Merci pour cette chaude histoire bien excitante ! 

Merci, je pense que s'il a eu d'autres expériences avant moi, cela s'est arrêté à la pipe. Toutefois, je ne suis pas certain que ce soit lui qui l'ai faite. Je pense plutôt qu'il a du se faire sucer. C'est vrai que je ne l'ai pas précisé, mais il a hésité avant d'ouvrir la bouche. Visiblement, il s'attendait à ce que je saute sur sa queue d'entrée. En fait, il n'a fait que reproduire ce qu'il aime qu'on lui fasse. 

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Just now, Dunegay said:

Merci, je pense que s'il a eu d'autres expériences avant moi, cela s'est arrêté à la pipe. Toutefois, je ne suis pas certain que ce soit lui qui l'ai faite. Je pense plutôt qu'il a du se faire sucer. C'est vrai que je ne l'ai pas précisé, mais il a hésité avant d'ouvrir la bouche. Visiblement, il s'attendait à ce que je saute sur sa queue d'entrée. En fait, il n'a fait que reproduire ce qu'il aime qu'on lui fasse. 

 

8 hours ago, Josselin said:

La façon dont tu racontes laisse penser que ce n'était pas sa première expérience ! 

Ah les ragots et rumeurs... Ça fait du mal. 

Merci pour cette chaude histoire bien excitante ! 

Pour ce qui est des ragots, nous étions servis. Je ne le raconterais pas mais le patron de l'unité a mal fini (en taule...) pour provocation au suicide notamment. Mon unité a détenu le record du nombre de suicides sous son commandement. "Diviser pour mieux régner" était sa façon de faire et il se servait de sa femme pour lancer des rumeurs sur tout le monde. Jusqu'au jour où un collègue a envoyé des copies de courriers et des photos compromettantes le concernant à la direction à Paris, avant de passer à l'acte. Car bien évidemment, notre patron n'avait pas le cul propre...

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Quel panier de crabes, tout n'est pas rose dans la vie, mais là ça atteint des sommets. 

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13 hours ago, Josselin said:

Quel panier de crabes, tout n'est pas rose dans la vie, mais là ça atteint des sommets. 

Oui, heureusement, j'ai été muté...

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7 hours ago, DorianG said:

@Dunegay merci beaucoup à toi de partager ces souvenirs 

Avec grand plaisir😋

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21/ Je branle un collègue :

 

Militaire, j’ai régulièrement l’occasion de prendre des douches collectives avec mes camarades. J’apprécie généralement la vue. Les formes de mes camarades ne me laissent pas indifférent. Dans le lot, l’un d’eux, d’origine espagnole, grand, très mince. Il est brun au teint mat. Diego présente une particularité physique qui intrigue tout le monde à la caserne. Ses parties génitales font penser qu’il a, non pas deux, mais trois couilles.

Nous avons le même âge. Nous avons vite sympathisé et le fait d'être voisins favorise certainement la chose. Nous sortons souvent ensemble (avec d’autres camarades) les soirs ou week-ends de quartier libre. Nous allons souvent en boîte de nuit et en faisons souvent la fermeture. Malheureusement pour moi, il est hétéro. Du genre à consommer sur place, dans une voiture, sur le parking ou à l’extérieur, mais ne ramène jamais de fille chez lui. Sa devise : « Tu baises tout de suite ou tu dégages ! ».

Un soir, ou plutôt un matin, après avoir passé la nuit dehors, un peu arrosée, mais sans excès, nous finissons tous les deux chez lui pour mater un film. Il se met à l'aise, en caleçon et me dit que je peux en faire autant. Je porte un slip tanga. Nous nous installons sur le canapé et il lance le film. C’est un film de science-fiction, notre genre préféré à tous les deux. Nous discutons un peu en regardant le film et j’ose lui demander l’origine de sa particularité génitale. J’apprends qu’il faisait du hand-ball, comme moi, avant de s’engager. Il était gardien de but. Au cours d’un entraînement, le ballon a terminé sa course dans son bas ventre. Il ne portait pas de protection. La puissance et la vitesse du ballon ont fait qu’une de ses bourses a explosée. Il me rassure et me dit qu’aujourd’hui, il n’en souffre plus et que les filles aiment beaucoup jouer avec. Nous reprenons le cours du film et il finit par s'endormir. Le jour commence à se lever.

À un moment, je constate que son boxer est plus que gonflé. Le bouton de sa braguette n’est pas boutonné. Le spectacle m’attire. Un morceau de chair ne demande qu’à sortir. Je ne regarde plus la télé, mais j’ai les yeux rivés sur ce que j’aperçois en partie. Son barreau m'appelle. Je le vois se tendre encore par petits coups. Son caleçon monte et libère encore plus la vue sur son engin. Je ne tiens plus. Il faut que je tente quelque chose. Je passe doucement ma main dessus en l’effleurant. Pas de réaction. J'appuie un peu plus mon geste et je fais des va-et-vient par-dessus son caleçon avec la paume de ma main. Toujours pas de réaction. Je glisse mes doigts par l’ouverture et j’entre enfin en contact direct avec sa bite. Je l’enserre de deux doigts et la sors délicatement par la braguette. Sa bite est fine et longue, très longue. Elle me paraît plus fine que la mienne, mais bien plus longue. Diégo ne bronche pas. Aucune réaction à part celle de sa bite bien raide. Je commence à la caresser en commençant par le gland. Un léger filet humide s’en échappe. Je le ramasse et le branle doucement. Je me risque même à passer le bout de ma langue sur son gland. Je récupère sa mouille. Il bouge un peu. Par réflexe, je me retire rapidement. Il dort toujours, ou du moins fait comme si, et me laisse faire. Je reprends sa bite en main. Je remonte et descends autour de son mat. Je place mon visage au-dessus, la bouche ouverte. Soudain, je vois qu’il se crispe. Je place mes lèvres autour de son gland bien rouge. Il envoie la purée. Son sperme est épais et abondant. J’ai la bouche pleine et quelques gouttes s’en échappent. J’avale sa semence au goût exquis.

Je lèche mes doigts et remets en place son sexe encore bien dur dans son caleçon. Il semble toujours dormir. À mon tour, je ne tiens plus. Je baisse mon slip et prends ma bite en main. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour arroser mon torse. Avec l’excitation, j’ai du sperme sur le menton que je ramasse avec mes doigts avant de les lécher. Je m’essuie le torse à l’aide d’un essuie-tout resté sur la table basse. Je remets mon slip en place et continue de regarder la télé avant de m'endormir à mon tour.

Diégo ouvre les yeux avant moi. Je suis contre lui, le visage sur son ventre et le bras droit sur sa cuisse. Nous sommes à moitié allongés et assis sur le canapé. Diégo me réveille doucement en me secouant légèrement l’épaule. Pendant notre sommeil, il a passé son bras droit par-dessus mes épaules. J'ouvre un œil avant de bouger. De suite, j’ai la bite de Diégo fièrement dressée et sortant de son caleçon juste devant les yeux. Quoi ? Je vais pouvoir le sucer ? Il a envie ? Je commence à peine à remuer, qu’il me dit : « Lève-toi, il faut que j’aille pisser ! ». Il se lève sans se cacher plus et va en direction des toilettes. Je me redresse et je réalise que, moi aussi, je bande. Ma bite est sortie de mon slip. Je la remets en place.

Lorsqu’il revient, il me dit avec un petit sourire : « Je vois que toi aussi, tu es en forme le matin ! » Je sens que je rougis et il conclut : « ce n'est pas grave, on est entre nous ! Par contre, il va falloir que je parte, je suis attendu !  ».

Je m’habille et rentre chez moi pour prendre une douche. Bien évidemment, j’en profite pour me soulager avec une bonne branle, d’autant que je n’ai toujours pas débandé depuis le réveil.

Quelques jours après, il me présente sa nouvelle copine. Celle-ci s’installe vite chez lui. Je comprends que cette soirée, seul avec Diégo, ne se renouvellera pas.

 

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Si je cache mon homosexualité en ayant des relations d’un soir avec des femmes, je ne dois pas être le seul. Sur cent dix hommes, combien aiment la bite comme moi ? Alors, on se met à supposer, tenter des approches, trop souvent sans résultat. Puis, parfois, on a des surprises….

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C'était risqué ! Il devait être très très fatigué pour ne pas se réveiller. 

Ta dernière phrase laisse plein d'espoir pour la suite du récit ! 

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10 hours ago, Josselin said:

C'était risqué ! Il devait être très très fatigué pour ne pas se réveiller. 

Ta dernière phrase laisse plein d'espoir pour la suite du récit ! 

C'est vrai, c'était risqué mais, tellement tentant que je n'ai pas résisté

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10 hours ago, Josselin said:

C'était risqué ! Il devait être très très fatigué pour ne pas se réveiller. 

Ta dernière phrase laisse plein d'espoir pour la suite du récit ! 

Où en es tu de ton côté avec ton récit ?

J'ai hâte de lire la suite

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22/ Soirée bisex imprévue

 

Un soir, tard, à la résidence, je suis nu sous mon peignoir et connecté sur mon minitel. Quelqu’un frappe à ma porte. Je coupe rapidement l’appareil posé sur ma table de salon, ajuste mon peignoir et vais ouvrir. C’est mon tuteur et sa femme. Il n’est pas rare qu’ils passent à l’improviste, mais jamais si tard. Ils reviennent d’une balade nocturne et, voyant de la lumière chez moi, ont décidé de passer.

Philippe s’assoit dans un fauteuil et Sophie sur le canapé. Le temps de leur servir un café et je les rejoins, sur le canapé. Sans perdre de temps, Sophie me dit en montrant le minitel : « On te dérange ? Tu étais peut-être en recherche d’un plan ? » J’hésite un peu avant de répondre que je venais de déconnecter. En fait, je me tapais une queue en lisant des textes érotiques gays.

Sophie me répond : « Tu sais, dès fois, on cherche ailleurs ce que l’on a juste à côté et à disposition. » En disant cela, elle pose sa main sur ma cuisse. Comme je suis nu sous mon peignoir et assis, ses phalanges sont en contact avec ma peau. Je suis surpris, très surpris ! Je regarde son mari qui me fait un sourire accompagné d’une moue approbatrice et un signe de tête qui veut dire oui. Je laisse faire.

Sa femme remonte et caresse du bout des doigts ma bite qui se redresse instantanément. Elle prend mes couilles et les fait rouler dans sa main. Philippe commence à se caresser le paquet. Pourvu qu’il ne se contente pas de mater !

Sophie me prend la bite et se penche pour la gober. Elle passe d’abord sa langue sur mon gland. Je sursaute. Puis, elle me prend délicatement entre ses lèvres. Sa langue continue de me caresser pendant qu’elle s’enfonce sur ma queue. Je prends un peu d’initiative en lui caressant le dos et la nuque. Je n’ose pas encore aller plus bas. Philippe se met à l’aise. Il a retiré le haut et dégrafe son pantalon. Je me dégage du peignoir et écarte encore les cuisses. Pendant qu’elle me suce, les mains de Sophie parcourent mon torse et me malaxent doucement les bourses. Philippe est maintenant complètement nu. Il se caresse tranquillement le sexe, mais reste sur le fauteuil. Il bande bien. J’ai peur qu’il ne veuille que mater.

Sophie lâche ma bite et se redresse. Elle nous regarde, son mari et moi, et nous dit : « Oh, mais j’ai du retard ! Vous êtes déjà à poil tous les deux ! Tu peux m’aider Patrick ? »

Je l’aide à retirer ses quelques vêtements. Elle s’allonge sur le canapé de façon à voir son mari. Elle m’attire vers elle. Je me penche et nous reprenons nos caresses. Je tourne donc le dos à Philippe. N’ayant plus mon copain dans mon champ de vision, je me concentre sur sa femme. Après lui avoir titillé les seins avec ma langue, je descends doucement. Je déteste faire un cunnilingus, mais la situation est assez excitante pour que, pour une fois, je fasse un effort. Je descends toujours. Je me retrouve avec une jambe sur mon canapé, l’autre au sol et le cul tendu. J’arrive à sa chatte et je commence à y passer ma langue. Heureusement, elle ne mouille pas beaucoup. J’ai horreur de la cyprine !

Je ne fais plus attention à Philippe quand je sens deux mains empoigner mes fesses et les écarter. Aussitôt, une langue me fouille l’anus. Très agréablement surpris, je me redresse en lâchant un : « Oh oui ! » Sophie me demande alors si j’aime ça. Je lui réponds que j’adore ! Visiblement, mon copain sait y faire. Il me lèche, me fouille, me pénètre avec sa langue. Je ne fais que gémir et ne m’occupe plus de Sophie.

Je leur propose d’aller sur le lit pour être plus à l’aise. Ils me mettent sur le dos, les jambes en l’air. Sophie reprend ma queue en bouche pendant que son mari alterne entre mes couilles et mon anus. Ils sont tous les deux experts en jeu de langue. Puis, Philippe se relève et vient se positionner à califourchon au-dessus de mon visage. À mon tour de lui lécher le trou. Il est serré, mais je sens qu’il s’écarte un peu. D’une main, je prends sa bite et le branle lentement. Il remue ses fesses contre mon visage tout en gémissant. Cette fois, c’est Sophie que j’oublie. Elle continue de jouer avec ma bite, de me sucer ou de me caresser les couilles, mais je ne m’en soucie plus. Je me concentre sur son mari.

Je mouille un doigt et tente une avancée. Philippe réagit bien. Il se cambre un peu pendant que mon doigt le pénètre. J’alterne entre mon doigt et ma langue. Il se penche en avant et prend ma bite dans sa bouche. Sa femme s’occupe de mon trou. Elle y met deux doigts qu’elle enfonce en douceur.

Le sphincter de mon copain se dilate et je peux y mettre, à mon tour, plusieurs doigts. Puis, Philippe laisse ma queue, se redresse et descend, toujours à califourchon. Sophie tient ma bite pendant que Philippe présente son trou contre mon gland. Un dernier coup dans la bouche pleine de salive de Sophie et mon copain s’empale sur mon manche. C’est chaud et doux, mais pas si serré que cela. De ce que je vois, Sophie à la tête entre les cuisses de son mari. Elle doit le sucer pendant qu’il s’active sur ma bite. Il accélère le mouvement. Je sens que je vais jouir et le leur dis. Philippe se retire et Sophie avale ma bite. Je ne tiens plus et lâche la purée au fond de sa gorge.

Après quelques secondes, mon pote me dit : « À ton tour ! Mets-toi a quatre pattes ! Sa femme se met sur le dos et glisse sous moi pour me sucer la queue. Philippe présente son membre bien raide contre mon trou et s’enfonce après avoir craché dessus. Il rentre tout seul, d’un coup, jusqu’aux couilles. Il commence ses va-et-viens doucement puis plus rapidement. Sophie aspire ma queue, me malaxe les couilles d’une main et de l’autre se caresse le clito. Je la sens aussi me caresser les fesses et faire le tour de la bite de son homme qui me lime maintenant à fond. Il va de plus en plus fort et se retire d’un coup dans un puissant râle. Je suppose qu’il envoie son sperme dans la bouche de sa femme qui ne s’occupe plus de moi.

Nous sommes à présent tous les trois allongés sur le lit à reprendre notre souffle.

Mon tuteur engage la conversation :

 

« - Tu te souviens Patrick, nos premières soirées de célibataires ensemble ? Celles où on se branlait chacun de notre côté devant un porno ?

- Moi : Oui, très bien… À l’époque, je rêvais d’attraper ta bite et de te branler !

- Qu’est-ce que j’aurais aimé… En fait, je n’attendais que ça !

- Moi : Merde ! Quel temps de perdu !

- Sophie : il n’est jamais trop tard. Voilà qui est fait, et très bien fait ! Bon mes chéris, ce n'est pas le tout, mais j’en connais deux qui bossent demain…

- Oui, on va rentrer se coucher. … Euh… ça reste entre nous bien-sûr !

- Moi : ne t’inquiète pas ! À demain, au rapport. »

 

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Je passe une courte, mais très bonne nuit. Nous ne renouvellerons qu’une fois l’expérience. Sophie se sent légèrement mise à l’écart lors de nos ébats et cela ne lui convient pas. Cependant, nous restons toujours proches tous les trois.

Après un premier déplacement outre-mer sans histoire, nous repartons pour Paris où je vis une expérience inoubliable...

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